L’édition 2018 des Carque…foulées (44), aura lieu le 25 mars ! Vous comptez y participer, après avoir suivi un plan d’entraînement FREQUENCE Running ? Nous avons les conseils qu’ils vous faut !

Trois questions à…

Jérôme Bernard, coureur confirmé (29’45’ sur 10km), entraîneur au Carquefou Athlétique Club et organisateur des Carquefoulées. Un runner qui aime beaucoup voyager, ayant par exemple participé au marathon de New-York l’année dernière.

Jérôme Bernard

Jérôme en pleine bagarre !

Comment vont s’organiser les Carque…foulées cette année ?

En plus du 10km habituel, sur route, nous avons créé un 5km plus orienté nature. Le but est de rendre l’événement accessible à un maximum de personnes, sur une distance acceuillante. À Carquefou, il y a beaucoup d’espaces verts, on passe sous des petits ponts, près des bords de l’Erdre, etc. Le parcours est relativement facile d’accès, il y a moins l’idée de performance que sur un 10km.


« Je suis passionné par les gens que j’entraîne, par ce que ça leur apporte. »


Jérôme Bernard

Jérôme (à gauche) fier de son équipe Carquefou athlétisme aux championnats de Frances de Cross

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Que représente pour toi la course à pied ?

J’ai intégré un club d’athlétisme assez jeune, en 1993. Depuis, j’ai toujours eu une licence. Avoir des résultats assez facilement, rapidement, ça motive ! Aujourd’hui, je suis moins sur la performance mais courir est toujours un plaisir. Je suis passionné par les gens que j’entraîne, par ce que ça leur apporte. J’aime bien aussi suivre l’athlétisme en général (actualités, etc.), ne pas que pratiquer. Enfin, je travaille au service des sports de la Chapelle-sur-Erdre. La course à pied fait partie intégrante de ma vie !

Jérôme Bernard

« Il faut se dire qu’on va passer un bon moment, prendre du plaisir »

C’est quoi le meilleur conseil à donner à un coureur ?

Il ne faut pas être trop stressé. Que l’on soit débutant ou athlète de haut niveau. Beaucoup de coureurs vont se mettre la pression, à tort : peu dormir la veille, être trop conscient de l’événement… C’est compréhensible quand, par exemple, on a préparé pendant plusieurs mois un marathon. Mais il faut se dire qu’on va passer un bon moment, prendre du plaisir, du recul. Il faut voir le côté positif de la course !

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