La limite varie en fonction de votre niveau, de la pente et de sa longueur, mais dès que la pente s’élève, il est intéressant de basculer sur de la marche. Même à des allures où vous pourriez courir, il peut être plus utile de marcher dans les montées d’un trail : vous irez presqu’aussi vite et vous vous économiserez davantage.

Quand prendre la décision de marcher ?

Dès que votre fréquence cardiaque commence à s’envoler, aucune hésitation, il faut marcher. Sur une sortie longue ou une rando-course, vous devrez vous forcer à marcher à la moindre côte.

Vous pouvez utiliser la durée de l’effort et le pourcentage de pente pour déterminer quand basculer. Sur plus de 3h d’effort, pas d’hésitation, on marche dans la moindre côte, même avec une pente raisonnable. En dessous de 3h d’effort, on peut encore courir dans les pentes moyennes, mais économisez-vous quand les pourcentages s’accentuent.

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Sur les séances d’entraînement de rando-course, marchez dans toutes les montées. Vous vous habituerez ainsi à travailler la « marche rapide », en utilisant vos bras et en penchant légèrement votre buste. Cela vous permettra de vous économiser sur ces longues séances.

Profitez-en pour recharger l’organisme

C’est le moment idéal pour vous hydrater et manger. Cela fait aussi partie de l’entraînement, alors dès vos premières sorties de rando-course, intégrez dans votre camel-back ou dans vos poches de quoi boire et manger.

N’ayez pas peur de marcher dans les montées d’un trail. Sur la fin de course, vous reprendrez un à un les casse-cous partis bille en tête dans les premières montées.

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